Durant la journée de Pâques, il est clair que la consommation de chocolat est importante comparée à un jour lambda. Mais pour quelle raison est-il de coutume de consommer du chocolat durant cette journée ?
L’histoire du chocolat de Pâques
C’est notamment une tradition. Pour cette journée, plusieurs chasses aux œufs sont souvent organisées. Ils sont bien évidemment faits en chocolat. Compliqué d’y voir le lien avec le fait de célébrer pour les chrétiens la résurrection du messie. L’origine de la tradition puise ses racines dans une culture perse. Il y a 5 000 ans, il fallait déjà offrir des œufs de poule afin de fêter l’arrivée le printemps. Des petits œufs qui doivent porter le bonheur, pour célébrer la fécondité et le renouveau. Après cela, les Chrétiens ont adopté cette tradition dans toute l’Europe. Durant le carême, un œuf est interdit. Mais les gens pouvaient en consommer durant la période de Pâques.
Pourquoi consommer du chocolat à Pâques ?
Pendant la période de Pâques, c’est un aliment qui est à l’honneur. Il contient d’antioxydants, regorge de bon gras et est doté de plusieurs vitamines et minéraux. Par contre, pour profiter au maximum de ses avantages, il est mieux de choisir le chocolat noir doté de 60 % de cacao au moins. Effectivement, plus le chocolat est doté d’une bonne proportion de cacao, plus il est idéal au niveau nutritif, car le cacao apporte des minéraux et oligo-éléments. Cependant, faites attention à ne pas trop en manger. Même si le chocolat est très riche en cacao et est meilleur pour la santé, il n’est pas moins sucré et calorique. Des chercheurs ont découvert tout récemment que les personnes qui consomment du chocolat une fois par semaine au moins ont tendance à avoir de bonnes performances cognitives. Il agit surtout sur votre mémoire. C’est pourquoi il est préférable de ne pas se priver d’un bon chocolat à Pâques.
Le chocolat : un meilleur atout pour le système cardiovasculaire et la circulation
Selon quelques études faites, consommer quotidiennement le chocolat peut réduire un bon pourcentage des maladies cardiovasculaires, un risque de problème vasculaire cérébral, et un infarctus de myocarde. En outre, les flavonoïdes peuvent limiter l’apparition du cholestérol, dilatent des vaisseaux sanguins et optimisent la coagulation, ce qui limite alors le risque de potentielles maladies cardiovasculaires. Une bonne concentration des microparticules plaquettaires peut augmenter le risque d’une thrombose. Or, quelques analyses ont démontré qu’un nombre de composantes suffisant du chocolat, la catéchine et l’épicatéchine particulièrement, présente un effet antiplaquettaire ressemblant à celui de l’aspirine.